
Il nous réveille la nuit
Vidéo. La lombalgie
Il faut un moment pour se "déverrouiller" le matin
On a moins mal en bougeant
En revanche, le repos ne soulage pas : au contraire, on a davantage mal lorsqu'on reste longtemps assis ou allongé. "C'est pour cette raison que la rééducation par la kinésithérapie et par le sport est un élément important de la guérison", justifie le rhumatologue.
Il cède avec les anti-inflammatoires
Il n'y a pas toujours de signes visibles à la radio
Il s'agit donc d'une pathologie "invisible", qui ne se voit pas de l'extérieur, ce qui explique les difficultés à faire reconnaître la maladie et ses douleurs, notamment au travail lorsque celles-ci entraînent des arrêts. Au final, le diagnostic se fait essentiellement via l'interrogatoire et un questionnaire sur les signes cliniques, à condition que le médecin soit formé à cette pathologie.
Il touche les plus jeunes
Un diagnostic qui peut prendre des années
Le mal de dos inflammatoire peut notamment être confondu avec la fibromyalgie. Entre temps, les douleurs (et les conséquences qui les accompagnent type stress, fatigue, arrêt de travail, dépression...) peuvent s'aggraver. Une fois le diagnostic posé, il permet de suivre le bon traitement, en choisissant le bon anti-inflammatoire à la dose efficace la plus faible possible et en diminuant progressivement le dosage, ou, plus rarement, en ayant recours à des injections sous cutanées d'anti-TNF. Voilà pourquoi il est important de consulter son médecin généraliste, qui pourra orienter vers un rhumatologue, et de ne pas s'automédiquer si l'on souffre de mal de dos depuis plus de 3 mois.
Pour en savoir plus et répondre au questionnaire : http://www.neluitournezpasledos.fr