
- 1 - Alimentation : les astuces pour limiter l’accumulation de graisse
- 2 - La natation, c’est excellent contre la culotte de cheval !
- 3 - Les crèmes amincissantes qui marchent contre la culotte de cheval
- 4 - Les ultrasons, efficaces mais pas définitifs !
- 5 - Culotte de cheval : les massages qui marchent
- 6 - La liposuccion pour un effet définitif
- 7 - La thermofréquence pour améliorer l'élasticité de la peau
- 8 - La mésothérapie , une méthode douce pour éliminer la culotte de cheval
Alimentation : les astuces pour limiter l’accumulation de graisse
En pratique : Valérie Orsoni, coach minceur, recommande de boire au moins 2 litres par jour, de limiter la consommation de viande et de privilégier les plus maigres (poulet, dinde). Il faut aussi manger des légumes tous les jours, et éviter alcool, sucreries et plats tout préparés qui contiennent beaucoup trop de sels et de graisses cachées.
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En pratique : Pour des résultats visibles et efficaces, il faut privilégier l’endurance et la régularité. En clair, nagez au moins 40 minutes sans céder à la tentation du rebord ! Côté nage, privilégiez le crawl qui allonge les jambes à la brasse qui fait gonfler les cuisses !
Les crèmes amincissantes qui marchent contre la culotte de cheval
Quelle crème choisir ? Valérie Orsoni recommande de privilégier une crème triple action, « c'est-à-dire qui vise à déstocker les graisses, mais aussi à réduire l’effet peau d’orange en limitant la rétention d’eau ». Elle conseille aussi de choisir un produit dont la texture vous plaît, pour que l’application de la crème soit plus agréable et donc plus durable.
Les ultrasons, efficaces mais pas définitifs !
En pratique : La technique est indolore mais demande très souvent plusieurs séances ainsi qu’un entretien de la partie à traiter pour conserver les effets. « Contrairement à la liposuccion, les ultrasons ne retirent pas physiquement la graisse du corps, le résultat est donc rarement définitif » argue le spécialiste. Une séance peut coûter entre 45 et 70 euros.
A noter : Notre interlocuteur nous met en garde contre les risques de brûlures si l’intervention n’est pas effectuée correctement. Il faut être vigilant quant au choix de votre médecin. En cas de doute, demandez conseil à votre médecin traitant.
Culotte de cheval : les massages qui marchent
En pratique : « Mettez une noix de produit sur la zone à traiter. Pincez ensuite votre peau entre votre pouce et votre index. Faites-la rouler sous vos doigts toujours du bas vers le haut » recommande Valérie Orsoni, coach minceur. Un massage efficace sur le long terme s’il est pratiqué quo-ti-diennement !
La liposuccion pour un effet définitif
En pratique : Ce type d’intervention coûte entre 2300 et 3800 € et est non remboursée par la Sécurité sociale. Elle est accessible à toutes les femmes à partir de 17 ans et jusqu’à 55. « Au-delà, il devient plus difficile d’intervenir car la peau est moins tonique » souligne notre interlocuteur.
C'est douloureux ? « On peut ressentir des douleurs comme des courbatures qui sont très vite atténuées par la prise de médicaments.» En ce qui concerne la cicatrisation, la canule peut laisser quelques marques comme un petit point rouge qui s’atténue très rapidement jusqu’à disparaître complètement dans l’année suivant l’opération.
La thermofréquence pour améliorer l'élasticité de la peau
En pratique : La thermofréquence consiste à administrer des ondes de radiofréquence via des embouts introduits dans la peau. La température allant de 65 °C à 100°C, la peau se relâche. Cette intervention est accessible pour tous types de peau, elle est indolore. La durée d’une séance peut varier de 20 minutes à 2 heures.
A noter : La thermofréquence est considérée comme une intervention de chirurgie esthétique. Elle doit être pratiquée très sérieusement par un chirurgien plasticien qualifié.
La mésothérapie , une méthode douce pour éliminer la culotte de cheval
En pratique : La mésothérapie est accessible à toutes les femmes et à tout âge dans la mesure du raisonnable bien sûr. C’est une pratique qui n’est généralement pas douloureuse, et les substances injectées le sont en faibles quantités. Il faut d’abord effectuer un examen médical pour se faire prescrire ce type de traitement. Les séances ne sont pas prises en charge par la Sécurité sociale.
Pour plus de renseignements, consultez le site de l'AMME