
- 1 - Pas plus de 19°c dans la chambre !
- 2 - Le plus simple : l'homéopathie
- 3 - Soja, houblon, lin : les plantes qui compensent les variations hormonales
- 4 - Des compléments de vitamines et antioxydants
- 5 - Un traitement hormonal classique si rien d'autre ne marche
- 6 - Rester active
- 7 - Commencer les traitements dès la périménopause
Pas plus de 19°c dans la chambre !
Le plus simple : l'homéopathie
En pratique : Il faut commencer à 4 comprimés par jour puis diminuer en fonction de l'amélioration. Si ça ne suffit pas, le pharmacien ou le médecin homéopathe peut proposer un traitement plus ciblé des symptômes (Lachesis ou Sepia 15 CH pour sudation importante, 5 granules au coucher à renouveler dans la nuit si besoin) associé à un traitement de fond.
Soja, houblon, lin : les plantes qui compensent les variations hormonales
En pratique : On les trouve seules ou associées dans des produits spécial ménopause (Triolinum Jour/Nuit, Ménophytea Bouffées de chaleur, A.Vogel Ménopause, etc.). Il ne faut pas dépasser 1mg de phyto-oestrogènes par kilo de poids et par jour (60 mg/jour si l'on pèse 60kg par exemple). Attention notamment si on consomme déjà beaucoup de soja via l'alimentation (yaourts, lait, tofu...). La sauge, reconnue pour son efficacité contre la transpiration excessive peut aussi être prise sous forme de tisane (1 à 3 g de feuilles séchées par jour, 3 tasses par jour). "Il ne faut pas hésiter à tester une plante et à changer si on ne note pas d'amélioration au bout de 2 à 3 mois, car ce qui marche pour une femme ne marche pas forcément pour l'autre, l'efficacité est très variable et très personnelle", précise le Dr Christelle Charvet, gynécologue.
Des compléments de vitamines et antioxydants
Un traitement hormonal classique si rien d'autre ne marche
En pratique : Le médecin prescrira alors le traitement le moins dosé possible sur une durée la plus courte possible, même s'il est parfois nécessaire de le prendre au long cours pendant plusieurs années. Le plus souvent, il s'agit d'oestrogènes par voie locale (gel ou patch) à appliquer du 1er au 25 du mois (3 jours de pause minimum), associés à de la progestérone naturelle.
Les contre-indications : antécédents de cancer du sein, maladies thrombo-emboliques et au cas par cas si fibromes, endométriose, antécédents familiaux de cancer du sein...